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chellala
22 décembre 2019

Algérie Histoire: Combat de Saïd Aït Messaoudène,

Saïd Aït Messaoudène, fils d'Imam de Bouirat Lahdab (Ain Oussera) a été un des premiers pilote algérien qui s'est enfui de Bordeau avec un avion pour rejoindre le FLN à Tunis, en 1963 il atterrit à l'aérodrome de Méchéria le libérant définitivement de la colonisation française .
Brave nationaliste Aït Messaoudène Saïd.né 1933, avait vécu avec ses parents et s'était rendu, en compagnie de sa famille à Bouirat Lahdab près de Birine,

Son oncle maternel est Hadj Boussaad Mokhtar qui l'inscrivit à l’école, la familleTerki étant celle de son épouse.
Il fût respectivement ministre des PTT, la Santé et enfin les Industries légères.
Il a aussi participer à la première guerre contre Israël
Il était atteint de la maladie de Parkinson très jeune et non d'un cancer.
Je vous remercie et vous souhaite une bonne continuation.
En 1944, il se rendit, en compagnie de son oncle, Terki El Mokhtar, qui l'inscrivit à l'école d'indigènes pour terminer ses études primaires, puis il entra à l'école technique, appelée Beau Prêtre (Larbi Tebessi actuellement) où il obtint son Bac avec mention très bien. En 1951, la France publia une annonce qui fut accrochée à l'école technique, annonçant son besoin en pilotes, tous ceux qui le voulaient pouvaient participer au concours. Ainsi, Aït Messaoudène Saïd avait pris part au concours et avait été classé premier. Il entra donc à l'école d'aviation à Rochefort,
Aït Messaoudène Saïd avait donc participé au concours et fut classé premier par rapport aux hommes des Forces aériennes françaises. Il s'était rendu alors en Allemagne pour être formé avec les étudiants des alliés ; après cela, il revint à Salon-de-Provence, en France, où il termina ses entraînements et sortit avec le grade de sous-lieutenant. Il fut désigné pour travailler à la base de l'Alliance atlantique aérienne n° 707 se trouvant à Marrakech, au Maroc, où il pilotait le « Mystere 20 ». Et là, il entra en contact avec la famille Djoudi, propriétaire de la compagnie de transport à Marrakech, laquelle était originaire de la ville de Blida, et qu'il connaissait, c'est elle qui l'avait mis en contact avec Boudaoud Mansour, l'un des plus grands responsables de la direction de la Révolution, qui lui demanda donc d'intégrer les rangs de l'Armée de libération à ce moment-là.
Saïd avait envoyé une lettre d'Italie contenant uniquement deux phrases. « Mes salutations à la famille, je ne retournerai pas en France ». Son frère avait donc compris le sens, et après quelques jours, il fut convoqué par la gendarmerie française pour lui demander si son frère se trouvait dans la région de Had Sahari. L'histoire de l'adhésion d'Aït Messaoudène à la Révolution est différente vue du côté de l'Alliance atlantique.
Lorsque Aït Messaoudène Saïd arriva en Tunisie, il fut reçu avec réserve, vu la loi qui était en vigueur au sein de l'Armée de libération et qui stipulait que toute personne ayant rejoint la Révolution devait faire l'objet d'une enquête pour s'assurer de ses intentions. .il laissa tout tomber pour rejoindre la Révolution. La nouvelle était arrivée au ministre de la Guerre, qui était alors le défunt Krim Belkacem, lequel l'avait convoqué pour l'interroger personnellement. Quand ils se rencontrèrent et que le ministre lui posa des questions, il s'avéra qu'il connaissait donc sa famille et ordonna son intégration immédiate dans les rangs de l'Armée de libération, en lui confiant pour mission de superviser l'institution de l'aviation militaire algérienne.
Aït Mesaoudène a combattu l'invasion marocaine de Tindouf en d'octobre19 63 ; lil devint ministre des PTT, puis des travaux publics; la dernière fois que je l' ai vu c'était au cours d'une rencontre sur la modernisation de la céréaliculture à l'Hôtel Aurassi; il mourut le 1 janvier 2009 après avoir souffert de cancer alors que son père à 2 ans l'avait sauvé de la mort mordu par un chien enragé: son père avait tué le chien et fait manger à son fils le foie et il survécut par miracle

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Commentaires
A
Bonjour.<br /> <br /> Quelques rectificatifs avec votre permission.<br /> <br /> Son oncle maternel est Hadj Boussaad Mokhtar qui l'inscrivit à l’école, la familleTerki étant celle de son épouse. <br /> <br /> Il fût respectivement ministre des PTT, la Santé et enfin les Industries légères.<br /> <br /> Il a aussi participer à la première guerre contre Israël<br /> <br /> Il était atteint de la maladie de Parkinson très jeune et non d'un cancer.<br /> <br /> Je vous remercie et vous souhaite une bonne continuation.
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